En 2012, après plusieurs décennies d’élections toujours contestées et de dialogue de sourds entre le Gouvernement d’un côté, l’opposition et la société civile de l’autre, un Code électoral a été adopté.
Mais, au lieu d’instaurer la sérénité et la confiance dans le processus électoral, celui-ci a, au contraire, renforcé la défiance à l’égard du système électoral national au sein de la classe politique et de l’opinion, en raison de l’absence de consensus lors de sa préparation et de son vote...